« Pour la première fois depuis la création de l’« Etat hébreu », l’armée a laissé tomber sa population… ».
C’est en ces termes que certains moyens d’information occidentaux ont relaté la situation qui a prévalu aux premières heures de la stupéfiante et extraordinaire attaque des vaillants résistants de la branche armée du Hamas, les « Brigades d’Al-Aqsa » en cette aube du 7 octobre 2023.
Par surprise et en un clin d’œil, plus de 400 résistants des « Brigades d’Al-Aqsa » ont franchi avec une facilité déconcertante les barrières métalliques, en barbelées et en béton de la « frontière » érigée par l’occupant sioniste entre la Bande de Gaza et les territoires palestiniens occupés.
Après des salves de pas moins de 5 mille roquettes et répartis sur plusieurs fronts tout au long de cette ligne, les résistants ont pénétré à l’intérieur de leurs terres, la Palestine occupé, d’une vingtaine de kilomètres et à l’intérieur de plusieurs colonies autour de la Bande de Gaza, faisant des centaines de morts parmi les colons et les militaires et des dizaines, voire des centaines de prisonniers entre civils et militaires aussi.
Les images diffusés par la cellule d’information militaire des Brigades montrent la déroute totale de l’armée sioniste, supposée la plus puissante de toute la région proche-orientale, des blindés et des véhicules militaires saisis et leurs équipages traînés au sol et faits prisonniers.
Les morts parmi les militaires sionistes laissés sur le terrain comme des mouches démontrent la puissance de l’attaque surprise des résistants palestiniens, l’extrême organisation de cette opération et l’absolue détermination de ses membres.
Partis en trois vagues par terre, par mer et par aéro-parachutes, les Brigades d’Al-Aqsa sont vite devenu maîtres de la situation, occupant les colonies des alentours de la Bande de Gaza dont quelques-unes restant entre leurs mains jusqu’à ce moment.
Des affrontements entre les résistants et l’armée sioniste se poursuivent jusqu’à aujourd’hui pour tenter de les déloger.