PORTRAIT – Pendant des années à la direction de la communication mondiale de Dior Parfums, il a accueilli des stars, de festivals en shootings, de Cannes à Los Angeles. Aujourd’hui, passé chez Augustinus Bader, il a cocréé un nouveau festival international de cinéma, Nouvelles Vagues, à Biarritz.
C’était, sur le papier, un pur produit de la “com” à la française. Passé du groupe Marie-Claire au Vogue Homme, puis de Sonia Rykiel (« une femme exceptionnelle », auprès de qui il fera le tour de la planète pendant dix ans) aux cosmétiques L’Oréaliens, Jérôme Pulis décrochait ensuite la direction de la communication mondiale de Dior Parfums, poste éminent qu’il occupera plus de seize ans. Un parcours ascensionnel. Un quart de siècle à côtoyer les cadors de la mode, de la beauté, les grands patrons, stylistes, créateurs… À lancer des carrières, produire des images qui feront le tour du monde, accueillir toutes les stars possibles de festivals en shootings, de Cannes à Los Angeles. Et voilà qu’en lui donnant rendez-vous « sans motif », on découvre qu’on le déstabilise pour la première fois. Que ce grand communicant n’est « pas doué pour l’introspection »… « Parler de moi ? Mais j’en suis incapable ! C’est que dans ce métier, on est toujours dans l’ombre
#Jérôme #Pulis #Cinéma #avec #succès #côte #Atlantique
Source link
Home