Le respect du temps de travail ? Pas pour Lucas Mazur. Ce lundi 2 septembre, le para-badiste de 26 ans a bouclé une journée à rallonge sur les courts de l’Arena La Chapelle. Des débuts en bronze avec la petite finale du double mixte remportée aux côtés de Faustine Noël à 9 heures. Une fin en or sur la plus haute marche du podium de la compétition individuelle (SL4) et une « Marseillaise » chantée, comme à Tokyo en 2021, avant 20 heures. Deux breloques qui font quatre au total pour le natif du Loiret en deux éditions des Jeux paralympiques. En partie remportées grâce à un physique « hors-norme » et un caractère que d’aucuns qualifieraient « de cochon ».
Sa partenaire de double, Faustine Noël, est sans doute celle qui en parle le mieux. « Lucas sait ce qu’il veut et il l’obtient, glisse celle qui s’est laissée convaincre de poursuivre le para-badminton grâce à Lucas Mazur. Sur le court, il veut dominer. On s’en inspire un peu tous aussi. Le plus compliqué est qu’il ne faut pas se laisser faire comme partenaire. Il faut réussir à prendre sa place. Je n’ai pas toujours réussi mais il le faut pour qu’on soit deux l’un à côté de l’autre et pas un tout seul devant l’autre. Sur notre double mixte, on est opposé sur notre façon de voir le haut niveau. Mais ce n’est pas pour ça que ça ne marche pas. On aime la gagne et ça nous réunit. »
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